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aides_alimentaires [2021/03/23 15:15]
laury [Scénario 3: La sécurité sociale alimentaire]
aides_alimentaires [2021/03/23 15:55] (Version actuelle)
laury
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 La famille Dubois souhaiterait avoir accès à une alimentation saine pour leur enfant, et également pour le papa qui est atteint de la maladie de Crohn. Ils se tournent bien souvent vers des grandes surfaces ou ils achètent des produits transformés. En effet, leurs habitudes alimentaires liées à leur budget  les poussent à se tourner vers ce type de produits, qui ne sont pas viables au long terme. Alors, Mme Dubois se rend sur internet et à sa mairie, pour voir les solutions qui leurs seraient possibles pour pouvoir bénéficier d’aides.  A la mairie, on lui parle d’un dispositif existant: les épiceries sociales. Pour cela, madame Dubois va devoir remplir un dossier dans lequel elle renseignera les revenus du ménage, et leur besoins alimentaire, un dossier qu’elle devra envoyer au CCAS (centre communal d’action sociale), en fonction de tout ces critères, le CCAS donnera accès au ménage à ces épiceries solidaires. Celles ci permettent de faire les courses dans des épiceries ou les prix sont à hauteur de 10% du prix originel du produit, ce dispositif est surtout adressé aux ménages faisant face à des difficultés passagères. Après deux semaines d’attente, les Dubois reçoivent leur passe droit pour accéder à l’épicerie une fois par semaine le temps de deux mois. L’épicerie solidaire que la CCAS leur propose est à 30km de chez eux, et elle n’est ouverte que du Jeudi au Samedi. Ce qui les poussent à se déplacer le Samedi - en famille - via les réseaux bus afin d’aller faire leurs courses. Un temps d’attente est à prendre en compte avant de rentrer dans l’épicerie. Une fois entrée, la famille Dubois se tourne naturellement vers les produits qu’elle à l’habitude d’acheter: des produits en conserve et transformés. Les prix leur permettent d’acheter plus, et également de se tourner vers des matières premières brute, qui permettront au foyer de se nourrir plus sainement qu’avant. Peu à peu, au fil des semaines, le foyer prend goût au « fait maison », à la fin de leur autorisation d’accès à l’épicerie, Mme Dubois n’a toujours pas retrouvé d’emploi et reformule donc une demande d’accès, qui leur est - cette fois - refusée. Ils se retrouvent donc confronté au retour aux supermarché, mais riche de cette expérience, au sacrifice de certains plaisirs alimentaires, ils préfèreront mettre une part de leur budget dans des produits bruts, et réalisent peu à peu que le fait maison peut représenter un coût moins important. Madame Dubois finit par retrouver un travail en tant que hotesse d’accueil dans un hôtel, ses horaires ne lui permettent plus de trouver le temps de cuisiner, mais le salaire combiné du couple leur donne un plus grand pouvoir d’achat. Ils retourneront donc naturellement vers des produits plus transformés en semaine et prendront le temps de cuisiner le week-end.  La famille Dubois souhaiterait avoir accès à une alimentation saine pour leur enfant, et également pour le papa qui est atteint de la maladie de Crohn. Ils se tournent bien souvent vers des grandes surfaces ou ils achètent des produits transformés. En effet, leurs habitudes alimentaires liées à leur budget  les poussent à se tourner vers ce type de produits, qui ne sont pas viables au long terme. Alors, Mme Dubois se rend sur internet et à sa mairie, pour voir les solutions qui leurs seraient possibles pour pouvoir bénéficier d’aides.  A la mairie, on lui parle d’un dispositif existant: les épiceries sociales. Pour cela, madame Dubois va devoir remplir un dossier dans lequel elle renseignera les revenus du ménage, et leur besoins alimentaire, un dossier qu’elle devra envoyer au CCAS (centre communal d’action sociale), en fonction de tout ces critères, le CCAS donnera accès au ménage à ces épiceries solidaires. Celles ci permettent de faire les courses dans des épiceries ou les prix sont à hauteur de 10% du prix originel du produit, ce dispositif est surtout adressé aux ménages faisant face à des difficultés passagères. Après deux semaines d’attente, les Dubois reçoivent leur passe droit pour accéder à l’épicerie une fois par semaine le temps de deux mois. L’épicerie solidaire que la CCAS leur propose est à 30km de chez eux, et elle n’est ouverte que du Jeudi au Samedi. Ce qui les poussent à se déplacer le Samedi - en famille - via les réseaux bus afin d’aller faire leurs courses. Un temps d’attente est à prendre en compte avant de rentrer dans l’épicerie. Une fois entrée, la famille Dubois se tourne naturellement vers les produits qu’elle à l’habitude d’acheter: des produits en conserve et transformés. Les prix leur permettent d’acheter plus, et également de se tourner vers des matières premières brute, qui permettront au foyer de se nourrir plus sainement qu’avant. Peu à peu, au fil des semaines, le foyer prend goût au « fait maison », à la fin de leur autorisation d’accès à l’épicerie, Mme Dubois n’a toujours pas retrouvé d’emploi et reformule donc une demande d’accès, qui leur est - cette fois - refusée. Ils se retrouvent donc confronté au retour aux supermarché, mais riche de cette expérience, au sacrifice de certains plaisirs alimentaires, ils préfèreront mettre une part de leur budget dans des produits bruts, et réalisent peu à peu que le fait maison peut représenter un coût moins important. Madame Dubois finit par retrouver un travail en tant que hotesse d’accueil dans un hôtel, ses horaires ne lui permettent plus de trouver le temps de cuisiner, mais le salaire combiné du couple leur donne un plus grand pouvoir d’achat. Ils retourneront donc naturellement vers des produits plus transformés en semaine et prendront le temps de cuisiner le week-end. 
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 +===== Scénario 2: Panier repas=====
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 +L'aide alimentaire n'est plus en capacité de fournir du choix et deviens du premier arriver premier servi.
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 +Dans l’objectif de limité le gaspillage des produits "moins attractif"  et d'assuré une équité dans l'accès à la nourriture, l'état met en place un système de panier repas en reprenant la main sur les banques alimentaires.  Cette action supprime l'étape de la banque alimentaire et permet une redistribution plus équitable des denrées. La majorité des centres de distributions ne sont plus nécessaire et trouve une nouvelle application dans le domaine social.
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 +Après c'etre inscrire auprès de l'État pour faire une demande d’aide (inscription via le site gouvernemental), la famille Dubois a été éligible au panier repas. Elle reçoit désormais chaque semaine un panier repas qui lui est livré à domicile sur des créneaux horaires définie par la poste qui as diversifié ces services de livraison. Livrée sous forme de carton contenant les denrées adaptées a la taille de leur foyer, le panier est garni selon les saisons et selon les disponibilités en essayant au maximum de respecter la diversité et les aliments non transformé.
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 +La famille Dubois se sert de ce panier repas pour se nourrir au quotidien, mais le contenu n'est pas suffisant pour tenir la semaine entière. Cependant, le budget alimentation est donc énormément réduit par rapport à avant et permet d'utiliser cet argent sur d'autre dépense nécessaire.
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 +Le service de livraison permet de ne pas perdre de temps dans les déplacements entre le domicile et permet de consacrer plus de temps à la préparation des repas. De plus le contenu des paniers n'étant pas négociable à l'exception de problème de santé, la qualité de l'alimentation de la famille s'améliore réduisant les chances de problèmes de santé.
  
 ===== Scénario 3: La sécurité sociale alimentaire===== ===== Scénario 3: La sécurité sociale alimentaire=====